Tous droits réservés Jean-Réal Brunette 2019




Je n’ai toujours écrit que pour m’aider à penser, que pour le plaisir de voir se développer une pensée. Le faite de la coucher sur le papier l’objective, permet de la regarder d’un œil critique. Écrire c’est établir une conversation avec un autre soi-même, une prise de conscience. La disputer ainsi c’est comme lentement sculpté une forme. Au fond je n’ai jamais écrit que pour moi-même. Mais arriver à un certain moment Les échanges de pensée, les conversations avec les vrais amis m’ont amené à penser que de les ouvrir aux autres allait encore possiblement poursuivre, développer la même expérience. C’est donc sur ce ton presque confidentiel que je vous confie ces essais.

Je n’ai aucunement ni l’expérience ni le talent de même jamais penser pouvoir publier ces textes. C’est la conscience de ce faite qui m’avait toujours empêché de faire connaître ses notes. À cela s’ajoute, vous ne pouvez l’oublier, ma perte de vision qui m’empêche de lire. Ce n’est qu’avec l’aide de tout un arsenal informatique que j’ai pu dicter et corriger, encore que péniblement, ce qui suit . J’implore donc votre compréhension.

Le premier volume sur la santé décrit le marasme ressenti qui m’a amené à une retraite prématurée. L’évolution par la suite à confirmer toutes les craintes. Je considère le second essai « La fascination des cimes » comme une sorte de testament intellectuel. Il réunit le fin résidu de la recherche de l’essentiel, de l’ultime réduction de la réalité d’une vie dans l’univers que nous connaissons. Le troisième, «Le monde se porte mal ? » cherche réponse à l’immense perplexité ressentie face aux bouleversements vertigineux auxquels sont soumises toutes nos valeurs. J’ai ajouté au site Web une section intitulée « Approximations » qui pourraient possiblement recueillir une révision de ses pensées ou encore de nouvelles idées, toutes le résultat de nos futures discussions.

Jean Réal Brunette